Jack Edwards, service records RAF.
Le 15/05/1940, Inscription à la RAF à
Padgate, comme un AC2 (Aircraftsman 2ème classe)
formation de mitrailleur/opréateur radio.
Le 17/05/1940, il est accepté comme
pilote/Air-observateur.
Le 20/05/1940, il jugé médicalement
inapte !
Le 31/12/1940; il est reprend le rang
dAircraftsman 2ème classe) comme
mitrailleur/opréateur radio.
Le 31/12/1941, il est classé comme Leading
Aircraftsman (BAC) : opréateur radio. Il est en de
formation pilote.
Le 10/02/1941, la visite médicale, le
déclare A3b, bon pour le service
Le 23/04/1941, il est déclaré apte
à être pilote et obseravateur/opréateur
radio.
Le 19/08/1941, apte à lentrainement de
pilote.
Le 01/02/1942, 31 RAF Personnel Depot (PD) à
Moncton, New Brunswick, Canada.
Le 28/02/1942, Promu comme LAC (Leading
Aircraftsman).
Le 10/03/1942, No. 3 British Flying Training School,
Miami, Oklahoma, USA.
believed flying Harvards.
Le 24/09/1942, Rank : Leading Aircraftsman (LAC),
opréateur radio au titre de sa formation de
Pilot.
Déchargé de la RAF,
transféré à RAFVR avec commission
temporaire.
le 25/09/1942, Air Officer Commanding, USA No 1 BFTS
Texas, digne des commissions de la GD Direction RAFVR.
Le 27/10/1942, No 7 PRC ( Personnel Reception Centre)
Harrogate.
Le 15/12/1942, No 11(P) AFU (Admis à la
formation de pilote), believed flying Avro
Oxfords.
le 09/02/1943, No 11 OTU (Operational Training Unit)
possible à Bassingbourn, ou à la RAF Tempsford
* believed training on Wellingtons*.
Le 09/03/1943, Admis à la commission comme
Pilot Officer (ex LAC) GD Branch RAFVR.
Le 29/04/1943, No 1657 C.U (Conversion Unit)., RAF
Stradishall.
Le 29/05/1943, transferré au 75 Squadron RAF
(NZ), à Newmarket.
Le 11/06/1943, OPERATIONS : Attaque contre des cibles
à Dusseldorf. 16 bombardiers du 75 squadron. Le F/O
Edwards fut Co-pilote du Stirling AH880 avec le Flight Sgt.
Don Whitehead comme Captaine.
Mission avec le Stirling MKIII BK817, mission
abandonnée.
le 14/06/194, OPERATIONS : Mininage dans
Lestauaire de la Gironde. 6 bombardiers
dispatchés, 2 retours, problèmes de moteurs et
de communications. Le FO J.L Edwards était le
captaine de vol du Stirling Mk 1 BK646.
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C'est une partie de la notice
nécrologique(carnet de deuil) publié dans le
magazine de Manchester Eagles Motor Cycle Club (Une
Association pour les amateurs de motocyclisme à
Manchester).
Avant la guerre Jack Edwards avait la passion de
l'aviation et bien sur des motos et des voitures.
Après 2 années dans l'Armée de l'Air
(Royal Air Force), il a réussi ses examens et il est
parti aux Etats Unis et au Canada pour recevoir une
formation pour devenir pilote.
Il était un membre de notre association pendant
6 ans. En 1937 il a fait un voyage en Rhénanie et en
1938 un voyage en Hongrie. En 1939 il est parti en Italie
avec sa fiancée(sa future épouse,
Renée), ils ont entendus quelques bruits sur le cours
de la guerre, ils sont rentrés à Londres le 3
septembre, le jour où l'Angleterre a
déclaré la guerre.
Il est inscrit dans notre mémoire, à
propos de Jack Edwards, comme ayant eu un esprit intense, sa
passion pour la discussion de n'importe quoi, comme la
politique, la photoraphie ou les motos. Son
logico-positvisme était un gand plaisir à
écouter.
Nous pensons a sa femme Renée et à sa
petite fille (Kathleen).
Kath
est en mars 1941.
Quand la seconde fille de Jack, Jaqueline elle est
née le 13 janvier 1944, prénommée
Jaqueline en mémoire de son père.
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Selon le rapport de gendarmerie, le corps dun
aviateur a été retrouvé au lieu dit
Vauvert.
Ce qui est faux, ma rencontre avec M. Lanoë, de
Vauvert, le dernier témoin encore en vie qui a vu le
corps du pilote le 15 juin 1943.
Armand Lanoë avait 13 ans, il se souvient
parfaitement de lendroit où le corps du
malheureux pilote fut retrouvé au petit matin par le
journalier, André Crublet qui travaillait à la
ferme de Vauvert chez M. Lebouc.
André Crublet parti couper le trèfle au
petit jour, trouva en haut du champ de la
Gouvertière le blé couché,
le corps était là.
Il fut descendu à la ferme de
Vauvert sur une échelle, chez M.
Lebouc.
Photo en bas à gauche, ferme de M. Lebouc,
à droite, chemin de la
Gouvertière, entrée du chemin du
champ de la Gouvertière.
Vue du champ, la parcelle de gauche était celle
du trèfle, il y avait un charroi entre les deux
parcelles, à droite la parcelle de blé avec de
vieux pommiers où fut trouvé le corps. Photo
du haut, Armand Lanoë, situe à quelques
mètres près le lieu où fut
trouvé le corps.
Dans la matinée, un véhicule, une
camionnette blanche vint chercher le corps.
Sans doute M. Carré le boulanger, selon un
témoignage, le corps de laviateur fut
emmené par M. Carré à la mairie de
Bais.
Mais les autorités allemandes
récupèrent le corps rapidement.
Lhistoire du Jack Edwards ne sarrête
pas là, Armand Lanoë nous rapporte un second
témoignage très émouvant, quelques
jours après la découverte du corps et de la
chute de lavion anglais, son père
découvre dans un de ses champs, celui de
Millac, face à la colline de
Millac, un casque en cuir (appelé
serre-tête).
Ce casque a marqué Armand, même
après plus de soixante cinq ans, Armand me dit lors
de notre premier contact téléphonique, je me
souviens de ce qui était inscrit à
lintérieur du casque en cuir, un prénom
Edouard et un numéro de matricule, inscris à
lencre de chine.
Je lui réponds savez-vous que ce prénom
est en réalité le nom de famille du pilote
tombé à la Gouvertière,
Edwards, Jack. Pour Armand, ce prénom lui
était resté gravé dans sa tête,
Edouard était le prénom dun oncle
voilà la raison pour laquelle celui ci se souvient
très bien de ce nom.
Mais ce casque à hanté lesprit
dArmand, parti pendant de nombreuses années par
son métier à létranger, un jour
à son retour en France, il recherche ce casque en
cuir dans la maison familiale, longtemps il a
traîné sur larmoire de la pièce
commune, voir blanchi par la chaux ! mais au
décès du dernier, un peu de ménage
comme dans toutes les familles et le serre-tête est
parti au feu sans doute.
Lors de ma rencontre avec Armand Lanoë, le 11
avril 2008, pour ma visite des lieux à Vauvert et
Millac, notre route a croisée celle dun voisin,
M. Hardy.
Le souvenir de ce bombardier reste très
présents dans la mémoire de nombreuses
personnes à Moulins et ses environs.
M. Hardy est un de ceux là, sur les lieux
dès le matin du 15 juin, dans la nuit le bombardier
en feu passe au-dessus de leur maison. Le lendemain il est
sur les lieux à la Ville Chien, mais les
allemands interdissent laccès, deux bombes
rondes ! doivent être désamorcées.
Deux bombes rondes ? témoignage surprise pour
moi, il sagit de mines dans la description sans
équivoque de M. Hardy. Alors que le bombardier devait
avoir embarqué que trois mines selon le rapport de la
RAF, et que celles ci avaient été
largués en mer.
M. Hardy raconte que pendant un mois avec un de ses
copains, tous les jours, ils furent sur les lieux du crash,
ramenant des morceaux de lavion, et aussi des balles,
récupérant la poudre pour la faire
brûler dans la cheminé.
Des morceaux de lavion, il y en eu de
récupéré par la population un peu
partout dans les communes avoisinantes, ferraille qui servie
à réaliser, tantôt un dessous de plat,
etc...
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Cette photo et celle de gauche,
fut envoyée par M. François le Thomas de
Marcillé Robert à la veuve du pilote Jack
Edwards en Angleterre. Le fermier Français qui a
découvert le corps. M. Lebouc de Vauvert,
propriétaire du champ de la Gouvertière. Le
champ de la Gouvertière avec lemplacement
marqué dune croix, lieu où fut
découvert le corps de Jack.
M. François le Thomas
raconte dans un courrier adressé à Mme
Edwards, son étonnement, pourquoi son parachute ne
fut il pas utilisé. A priori, M. le Thomas a
adressé une photo où le parachute du pilote
fut retrouvé avec des pièces de lavion
?
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