Saint Bihy "La Lande-Allinto" B-17F-55 #42-29531 Codé JJ -Z 305th BG / 422th BS
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(Pilot). 1st Lt. Marshall R. Peterson. (POW) |
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(CP) 2nd Lt. Harold Edward Bentz. (EVD) |
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(Bdr). 2nd Lt. Frank R. Perrica. (EVD) |
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(NV) 2nd Lt. Laurence F. Mandelberg. (POW) |
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(E/TTG) S/Sgt. Hilton G. Hilliard. (POW) |
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(WOp/RWG) T/Sgt. Joseph John Freeborn. (POW) |
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(RWG) T/Sgt. George P. Smith. (POW). |
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(LWG) S/Sgt. Percy Clayton Mathews. (MIA). Identifié en 2016. |
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(BTG) S/Sgt. Peter P. Milasius. (EVD) |
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(TG) S/Sgt. Salvadore S. Tafoya. (EVD) |
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SAINT BIHY. Côtes D'Armor. Samedi 29 mai 1943. 15 heures 30. (Heure locale occupant). Chute du B-17 F. Immatriculé 42-2953. Codé JJ-Z. 305th Bomber Group- 422 Bomber squadron. Chute dans le champ dit de la ''Janoche '' près du village de Le Guern en Saint Bihy et de la Lande Allinto en La Harmoye.
Lieu du crash, dans le champ dit de la ''Janoche '', commune de Saint Bihy
Bombardier, Boeing B-17F-55, du 305th Group Heavy Bomber - 422th Squadron. Ce groupe de la 8th Air Force Américaine était basé sur la Station 105 aérodrome de Chelveston dans le Northamptonshire, (centre de l'Angleterre). Le 305th BG était arrivé sur cette base au cours du mois de décembre 1942, où il fut classé escadre de bombardement et de combat, il était rattaché au 1er Wing. Ce groupe de bombardement lourd sera commandé par le Colonel Donald K. Fargo à partir du 18 mai 1943. Il s'avérera aussi que cette unité sera une des plus décorées de la 2ème Guerre Mondiale pour ses actions et plus particulièrement pour la mission réussie sur une zone industrielle à Paris en 1943 où il recevra la Distinguished unit Citation. L'état Major de l'USAAF a désigné cette opération comme étant la mission 61. Dont les cibles sont les suivantes : I - St Nazaire, la base sous-marine et le bassin de Penhouet, mission réalisée entre 17h06 et 17h11, heure anglaise. Rattaché au 1er Wing. 8 B-17 seront en retour de mission, donnés perdus. 1 endommagé, non réparable, et 58 endommagés. Les pertes officielles sont de 10 blessés et 71 MIA, portés disparus. Le groupe est attaqué par 20 à 40 Fw 190, mais peu par des Me 109, tandis que un ou deux Me 110 et Ju 88 mèneront une attaque juste après le point IP. Une couverture aérienne sera assurée par 10 Spitfire et 3 P-47 entre la côte anglaise et Guingamp. Diverses attaques de diversion seront menées par 11 Venturas, sur Caen. Bombardiers en couverture par des Spitfire entre Cherbourg/Maupertus. 1 Squadron de Typhoon bombardiers seront employés escortés par des Typhoon ! Route empruntée : Portland Bill, Redon, la cible, puis Belle Îles, IP point : Guingamp et retour sur Portland Bill. Voir le tableau des pertes. 140 B-17 vont larguer 277 bombes de 2000 pound, G.P. (general-purpose bomb) entre 17h06 et 17h11. Entre 22,500 et 25,000 feet. 6.858 mts et 7620 mts. II - La Pallice, la base sous-marine. Mission réalisée entre 16h01 et 16h05. Par le 2ème Wing. Bombardement réalisé par 38 B-24. Pas de pertes. Voir le tableau des pertes. III - Rennes, Dépôt Naval de la Krisgmarine route de Lorient à Rennes, l'arsenal et les baraquements du Colombier. Mission réalisée entre 16h01 et 16h05. Par le 4ème Wing. 57 B-17 vont frapper la cible ou du moins le centre de Rennes ; voir le dossier. Voir le tableau des pertes.
Afficher Carte des pertes du 29 mai 1943 sur une carte plus grande
Carte des trois missions de bombardement - Claude Helias
En cette journée du samedi 29 mai 1943, la météorologie est très favorable. Sur plusieurs aérodromes Anglais 169 bombardiers Boeing B-17 se préparent pour une mission de bombardement de la base Allemande des sous marins de la Kriegsmarine à Saint Nazaire, 22 appareils abandonnerons en cours de route pour causes techniques, 147 atteindrons la cible. 8 Boeing YB-40 Flying Fortress vont être utilisés pour leur première mission sur Saint Nazaire. Comme à l'habitude après le décollage, et suivant un plan bien organisé, les pilotes positionnent leurs appareils au sein de la formation. Dans le B-17 dont l'immatriculation sur l'empennage est le 42-29531 surmonté de la lettre G inscrite dans un triangle, le Commandant de bord le 1st Lt. Marshall R. Peterson (23 ans) originaire du Mississipi est aux commandes de l'appareil. Son avion approche les 22 tonnes pour une charge de bombes de 8 tonnes. La plus grande attention lui est demandée sachant qu'il doit venir se placer sur l'aile gauche de la formation, manuvre délicate car il doit éviter le contact avec les B-17 qui l'environnent. L'équipage est de 10 hommes lui inclus. Très rapidement l'altitude de 25 000 pieds est atteinte (environ 7000 mètres). Il est secondé par le 2nd Lt. Harold Edward Bentz (22 ans) copilote originaire de Cleveland dans l'Ohio, il est né le 22 février 1921. L'officier navigateur est le 2nd Lt. Laurence F. Mandelberg. L'officier chargé du largage des bombes sur la cible désignée est le 2nd Lt. Franck R. Perrica. L'opérateur chargé des liaisons radio est le Sergent John F. Freeborn, originaire de New York. La défense de cette ''Forteresse Volante'' est assurée par 5 sergents mitrailleurs dont les postes se répartissent de la façon suivante. Dominant le bombardier, fixé dans la tourelle dorsale, Le sergent Hilton G. Hillard, originaire de Géorgie, il aura une mission de surveillance des plus importante, devant prévenir ses camarades dès qu'ils apercevra les chasseurs ennemis pouvant roder dans le secteur de la formation. En dessous de l'avion, dans sa bulle pivotante, armé de deux canons de mitrailleuses le sergent Peter P. Milasius, originaire de Chicago. En poste du côté droit, le sergent George P. Smith, originaire de Californie. Sur la gauche, le sergent Percy Clayton Mathews, originaire de l'Alabama. Dans l'exiguïté de la place de tir arrière, allongé dans la queue de l'avion, le sergent Salvador S. Tafoya, il sera en charge de sa mitrailleuse à double canons. Toutes ces armes redoutables on un calibre de 12,7 mm, de calibre 50. Sur ordre du 1st Lt. Peterson, le 2nd Lt. Perrica ouvre la soute en vue de l'objectif et à 14 heures déverse son chargement de bombes sur l'objectif. Soudain c'est l'enfer, un déluge de feu jaillit du sol. Les artilleurs Allemands se déchaînent. Les obus fusent de partout et touche l'avion en de multiples impacts. Le moteur numéro 3 est signalé perdant de l'huile abondamment. Malgré cela, l'avion est maintenu au sein du groupe. Un des mitrailleurs de côté signale dans l'interphone que le moteur numéro 4 laisse échapper une fumée blanche. Le sergent Milasius cite dans son rapport qu'il entend le pilote appeler pour avoir plus d'informations mais nul ne répond. Il indique aussi que les sergents Smith et Mathews ont leurs écouteurs coupés et qu'ils sont occupés à s'équiper de leur parachute. Il précise que lui même s'est muni d'une bouteille d'oxygène et aussitôt est allé voir ce qui se passait dans son poste arrière qu'il avait quitté peu avant voyant que la situation tournait mal.
De terribles vibrations secouèrent l'appareil, le sergent Milasius dis qu'il pensait être éjecté à ce moment là vu la force qui le plaquait sur la parois. Le Sergent Mathews était évanoui sur le sol. Nous étions sur la route du retour, quand le pilote donna l'ordre d'évacuer d'urgence car la situation s'aggravait. Il avait de plus en plus de mal à garder le cap de l'appareil. Le sergent Smith équipé de son parachute, était assis sur la porte de côté, hésitant. Je dû le pousser au dehors. Soudain notre avion en détresse se mis lentement à tourner sur lui même, une fumée opaque envahissait l'intérieur. Le sergent Mathews était toujours inconscient à l'arrière, sur le sol. Après avoir lutté pour rejoindre la porte, je sautais enfin à une altitude d'environ 10 000 pieds (un peu plus de 3000 mètres). Mon parachute s'ouvrit à 3000 pieds. (Un peu plus de 900 mètres). J'étais donc le deuxième à avoir quitté l'avion. Je pu apercevoir 7 corolles blanches au dessus de moi lorsque je descendais. Mes camarades s'étaient précipités rapidement au dehors face à cette situation de détresse. Les témoins de cet événement rapportent qu'une importante formation de bombardier, à haute altitude rentrait vers l'Angleterre. Il était environ 15 heures (heure de l'occupant), quand soudain ils entendirent des bruits de tirs dans le ciel. Un bref combat aérien se déroula avec des chasseurs ennemis et quelques instants après, un des bombardiers quitta lentement le groupe tout en perdant de l'altitude. Il laissait échapper un fumée noire, très dense. Un témoin rapporte que, des que l'avion se mit à tourner en rond, en spirale, il aperçu neufs parachutes blancs. (Il en manquait un, celui du malheureux sergent Mathews). A mi-course, une violente explosion se fit entendre, l'avion se coupa en deux. L'avant tomba comme une pierre dans un vallon près du village de "Le Guern" en Saint Bihy, l'arrière tomba lentement, en tournoyant, près du village de la "Lande Allinto" en La Harmoye. Dans l'empennage gisait le corps du malheureux sergent Mathews vraisemblablement tué peu après le passage sur la cible. En effet le pilote précise dans son rapport que les obus de FlaK (défense antiaérienne Allemande) avaient pulvérisé entièrement le nez de l'avion en plexiglas, que l'aile gauche était percée de multiples éclats d'obus ainsi que certaines parties du fuselage. Il dit aussi que le moteur numéro 3, placé à l'intérieur droit s'était arrêté après Saint-Nazaire vraisemblablement touché par un obus.
Le sergent Smith, le premier à avoir quitté l'avion, fut fait prisonnier peu après avoir touché le sol, près de la route de Quintin sur la commune du Vieux Bourg. Il est rapporté que les Allemands étaient très nombreux sur toutes les routes environnantes et très nerveux, arrivant en camions, se mettant tout de suite à la recherche des aviateurs Américains. Il est vraisemblable que ces soldats appartenaient à la 343ème Division d'infanterie qui occupait à cette époque la région allant de Saint Brieuc jusqu'à Morlaix. Il est vrai que ce samedi 29 mai 1943, ils avaient fort à faire, il y avait déjà eu 4 pertes en Ille et Vilaine, 2 dans le Morbihan, 5 nouveaux B-17 tombent sur le département des Côtes du Nord à l'époque, et 1 sur Saint Nazaire. Quand à l'occupant il perdit 15 avions de chasse, dont 13 sur le sol Breton ce même jour. Le pilote 1st Lieutenant Peterson fut arrêté par les Allemands dès son arrivée au sol. Il en fut de même du 2nd Lt. Mandelberg qui lui fut envoyé au Stalag Luft de Sagan en Silésie (aujourd'hui en Pologne), camp de prisonniers pour les aviateurs alliés. Avant la fin de la guerre suivant l'avancée des troupes Russes il fut envoyé au camp de Langwasser près de Nuremberg. Il fut libéré le 26 mai 1945. Le 2nd Lt. Bentz, âgé de 22ans, il en est à sa 9ème mission. Après avoir sauté de l'avion, il perd son kit d'évasion contenant la précieuse carte géographique en soie ainsi que l'argent qui auraient pu lui servir dans sa fuite. Il arrive dans un champ où des gens travaillent. Ces derniers ne lui portent aucune attention. Il décide de marcher immédiatement en direction du sud et dans la soirée décide de trouver une cachette pour y passer la nuit. Il surplombe une petite route ou tout à coup il voit arriver 3 soldats allemands qui marchent sur le bas côté. Il fait en sorte de les voir sans être vu. Ils ne le découvriront pas heureusement. Ayant échappé de peu à la capture il décide de reprendre sa marche à travers bois et forets. Il en sera ainsi toute la nuit, rencontrant beaucoup de difficultés. En cette fin de nuit et très fatigué, il décide de se reposer dans des fourrés. On est le dimanche 30 mai. Le jour s'est levé, et il est réveillé en surprise par plusieurs Français dont l'un fermier, lui explique qu'il a travaillé étant jeune aux USA dans le Missouri. Mis en confiance il le suit vers la ferme ou il est réconforté. On lui donne des vêtements civils et une petite somme d'argent pour pouvoir acheter de la nourriture. Il repart à pied pour arriver en soirée dans la région de Mûr de Bretagne ou il est intercepté par un gendarme Français. Il est conduit aussitôt dans un château ou une dame parle sa langue. Il reste ainsi caché quelques jours attendant une aide pour rejoindre Paris par le train. On lui explique qu'il devra rencontrer une personne de la Croix Rouge qui assurera son accueil prés de la gare du nord. Il séjournera de longs mois à Paris, changeant de lieu régulièrement. Un matin, il sera pris en charge par un agent de la Résistance, ancien aviateur français qui sera chargé de le faire passer en Suisse où il arrivera le 6 juillet 1944 à Bern. Après un court périple Suisse, il se retrouvera avec d'autres aviateurs Américains dans la région de Naples en Italie. De là, un avion conduira tous ces hommes à Casablanca au Maroc. Il rejoindra l'Angleterre le 8 septembre 1944. Le Lieutenant Bentz est décédé le 10 août 2007 et repose au cimetière d'Etowah en Caroline du Nord. Le 2nd Lt. Perrica, le sergent Milasius et le Sergent Tafoya après leur contact avec le sol Breton recevront une aide précieuse de gens de la région qui les aiderons à se cacher échappant ainsi à une capture certaine, sachant que les Allemands n'ayant pas retrouvé tous les aviateurs seront à leur recherche pendant plus d'un mois. Ils seront dirigés vers Saint Brieuc ou ils recevront l'aide et la protection des agents du réseau Oaktree. Ils transiterons dans la plus grande discrétion vers Paris où ils étaient attendus. Tout se déroulera assez vite malgré l'oppression de l'occupant. Le Sergent Milasius lors de sa descente en parachute évitera de peu le clocher du Vieux Bourg. Il se posera au lieu dit le "Point du Jour" sur la route de la "ville Juhel". Aidé par des riverains, caché la première nuit, il sera hébergé à l'école, recevant les soins de l'institutrice. Tous les 3 en compagnie de passeurs, ils traverserons les Pyrénées au départ de Foix dans l'Ariège puis vers Andorre. Il arriverons en Espagne, à Manresa. Tout se fera à pied par des chemins détournés, dans la montagne. Ils arriverons au consulat Britannique à Barcelone le 25 juillet 1943. Puis à Gibraltar, via Madrid le 12 août 1943 et retrouverons l'Angleterre le 16 août 1943 soit un périple de 79 jours.
Photo où se trouve le lieu de crash du B-17 à Saint Bihy, il s'étends également plus vers l'ouest
Le Sergent Smith sera aussitôt arrêté. Dans les jours suivant son arrestation il sera dirigé en Autriche au camp de prisonniers Stalag 17 de Braunau Gneikendorf situé prés de la Ville de Krems sur les bords du Danube. Il sera libéré le 9 juin 1945. Soit une captivité de 2 ans. Le Sergent Hillard subira le même sort. Il sera lui aussi arrêté rapidement et rejoindra le Stalag Dulag Luft 12 de Grosstychow prés de Francfort en Allemagne. Sa captivité lui aussi durera 2 ans. Le Sergent Freeborn arrivera rapidement au dessus d'un petit bois prés du Village de la "ville Juhel" en Le Vieux Bourg, son parachute poussé par le vent, l'entraînera sur la cime d'un sapin dont la branche cassera, le faisant tomber violemment sur un rocher ou il se cassera une jambe et plusieurs côtes, de plus il se blessera sérieusement au visage. Un agriculteur témoin de la scène monsieur Léon Lemée le chargera sur sa charrette, le dissimulant dans du trèfle qui y était chargé. Arrivé chez lui à la ferme de Kerjean, il allongera le sergent Freeborn dans un lit. Le voyant bien mal en point, tandis qu'il s'apprêtait à aller à la recherche d'un médecin, les allemands qui avait suivi de loin l'arrivée au sol de l'aviateur, eurent vite fait de le retrouver après quelques recherches dans le village. Vu son état, ils appelèrent une ambulance pour qu'il soit conduit dans un hôpital. Après son hospitalisation, il fut dirigé vers le stalag 17 de Braunau Gneikendorf prés de Krems en Autriche où il retrouva le sergent Smith. Le Sergent Percy Clayton Mathews, au dire des autres aviateurs semblait être sans connaissance, allongé dans l'arrière de l'avion. On peut penser qu'il était déjà mort, sans doute frappé par un éclat d'obus ou par une balle bien que nous n'avons trouvé aucune revendication de pilote Allemand indiquant qu'il souhaitait revendiquer une victoire sur ce bombardier Américain. Il est connu que le corps d'un aviateur mort a bien été vu dans la queue de cet avion par une dame qui était arrivée sur les lieux aussitôt après la chute car elle travaillait dans un champ tout proche à ce moment là. Immédiatement après, ce lieu fut inaccessible car l'occupant empêchait les gens d'approcher. Le Sergent Mathews n'ayant jamais été retrouvé son nom fut inscrit sur le monument à la mémoire des aviateurs disparus au cimetière militaire Américain de Cambridge en Angleterre. Après un complément de recherche de témoignage, nous avons appris que monsieur Merot Augustin qui était agriculteur à Le Vieux Bourg, fut réquisitionné par les Allemands pour récupérer et transporter le corps du Sergent Mathews. En soirée, monsieur Merot conduisit le corps du sergent dans sa charrette tirée par un cheval, stationnant dans la cour de sa ferme, à "Kerfolben" où une voiture Allemande vint chercher la dépouille. Nul ne sait où il fut inhumé pour l'instant, une enquête étant en cours en ce moment par le DPMO (Defense Prisoner of War/Missing Personnel Office) pour retrouver des informations sur sa disparition. Le Sergent Percy Clayton Mathews était né en 1918. Il avait 25 ans. Il habitait la ville de Covington en Alabama. État du sud des USA. Il était marié. Il exerçait la profession de boucher. Il avait signé un engagement pour la durée de la guerre plus 6 mois le 27 avril 1942.
Remerciements à Messieurs Merot, père et fils pour leur aide dans nos recherches. Monsieur Le Hegarat. Yannig Kerhousse. Jean Michel Martin, Daniel Dahiot. ABSA 39-45. Novembre 2012. |
MACR - Dossiers escape evasion.