Plélo "Les Fontaines"
Codé NX-? |
Tous les anciens Châtelaudrenais se souviennent du réservoir métallique; « trafiqué » qui servait de barque aux habitants du Moulin Neuf, les familles Guillet et Barbe. Qui parmi les jeunes de l'époque 1950-1960 n'a pas été invité à faire une croisière sur le bief du moulin ? Quelle est donc l'histoire de ce fameux réservoir ? D'où provenait il ? Quelle était sa taille ? Qui et quand a t il été récupéré ? Autant de question aux quelles je vais m'efforcer de répondre avec la complicité d'un témoin. René Guillet commerçant à Plélo, habitait dans sa jeunesse au Moulin Neuf, sa maison était construite sur le bief du moulin, qui se trouvait environ à 50 mt plus bas. Il avait alors 4 ans. Il se souvient très bien de lévénement qu'il a vécu en direct. Laissons lui la parole. « Un mois environ après le débarquement de juin 1944, dans la première quinzaine de juillet, un matin vers 11 heures, je me baignais dans la prairie en dessous du bois Cadio et de la ferme de "Kerrio"(1). Tout à coup nous avons entendu le bruit d'un avion avec des ratés - Ma mère est alors sortie de la maison pour nous appeler et nous demander de rentrer. En effet, l'avion en question était en feu et sa façon de voler prouvait qu'il n'était plus contrôler. Dans le même temps des motards allemands suivaient la direction imprécise par l'avion en détresse. Nous l'avons vu tomber à environ 2 à 300 mètres plus loin - Dans le petit bois du Nogoero, en contrebas de chez Arsène Gaseoin, presque face à l'annexe(2) et au cimetière des voitures. Les Allemands sont arrivés rapidement sur les lieux. Le pilote était mort - Cependant les occupants étaient persuadés qu'il n'était pas seul à bord. Ils ont donc fouillé tous les environs, jusqu'à chercher sous la paille au Moulin Neuf à la "Dosse". Cet avion dont la mission était de mitrailler le train allemand arrivant de Guingamp en gare de Châtelaudren, fut touché par la D.C.A. Allemande basée à la Guererie (non loin de la gare). Ce train avait déjà peu de temps avant, été attaqué par un groupe de résistants à partir du pont de Plouagat, (A Friquet et A Macé) - faisant partie de ce groupe. Plusieurs personnes ont été témoins de lévénement et notamment les habitants du "Moulin Neuf "- (Guillet, Barbe) des "Fontaines" (Hilary), "Kerrio" (Mottais), l'Annexe (Bidault) "Boequelo", Le Goalec. Nombreuses furent les habitations proches de l'impact à avoir été fouillées par les allemands. Qui empêchèrent les curieux d'approcher de l'épave. Les allemands ont rodé toute une semaine dans le secteur - Ils ont désossé l'avion - récupéré le moteur et tout larmement. Une quinzaine de jours environ après le crash, Joseph Barbé et André Barbe, quelques fois accompagnés de Jean et Étienne Guillet se sont rendus sur les lieux. Ils ont récupéré le réservoir de l'avion (intact) de nombreuses plaques de mica (vitres de l'appareil).
Il s'agit à priori du réservoir auxiliaire du Sptifire - fuel drop tank spitfire
Avec le réservoir dont ils ont découpé les dessus et pourvu d'une quille, ils ont conçu un canot relativement stable. (Pour 2 grandes personnes). Il ne manquait plus que les rames pour partir en croisière. Ce canot après avoir servi pour le travail et pour le loisir (surtout) a survécu une bonne dizaine d'année - Chaque année début juin il avait droit à sa traditionnelle couche de goudron. Quand au mica, les récupérateurs s'en servaient pour faire des bijoux (bagues), mais aussi il était utilisé pour éclairer les maisons - (on brûlait le mica cassé en petits morceaux déposés dans une gamelle) ».
(1) - Des tranchées antichar avaient été creusées par les allemands devant cette ferme Mottais. (2) - Annexe : terrain plat entre le chemin de l'Annexe et le Loff, servant de dépotoir aux garagistes pour entreposer leurs vielles voitures.
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N° 219 du 7/6/1944 Procès verbal relatant des renseignements judiciaires. Mitraillage d'une camionnette automobile par un avion inconnu, six tués et autres blessés graves.
Ce aujourdhui sept juin mil neuf cent quarante quatre à 12 heures 30.
Gendarmes à la résidence de Châtelaudren, département des Côtes-du-Nord, revêtus de nos uniformes et conformément aux ordres de nos chefs, rentrant de tournée, de communes, avons été prévenus par express qu'une camionnette automobile venait d'être mitraillée sur la route nationale N° 12 de Châtelaudren à Saint-Brieuc, au lieu dit au "Le Rossignol" en Plélo par un avion inconnu et qu'il avait des blessés et des morts. Nous nous sommes immédiatement rendus sur place où nous avons recueilli les renseignements suivants. Mme TURBAN (Françoise) née Leclerc (Marie) âgée de 58 ans, débitante au "Rossignol" en Plélo, née au même lieu le 14 juin 1895, des feus Joseph et de Guillaume (Marie) déclare : "Aujourd'hui 7 juin courant, vers 12 heures 30, alors que je me trouvais ocupée à mon ménage, j'ai entendu le bruit d'un mitraillage sur la route nationale N° 12 tout près de chez moi, des éclats, des cailloux et divers débris ont été projetés jusqu'à ma maison. Je suis sortie et j'ai alors constaté qu'une camionnette automobile de marque Renault immatriculée sous le sur le N° 2506- GV 4 transportait des journaux et de nombreux voyageurs était arrêtée à l'accotement gauche de la route en direction de Saint-Brieuc les pneus étaient à plat et la carrosserie criblée d'éclats de balle. Il y avait des personnes tuées 3 hommes et 3 femmes, 4 autres personnes étaient grièvement blessées et 5 autres légèrement. Je n'ai pas vu d'avion. Il en est cependant passé dans la matinée. Le mitraillage n'a duré que l'espace de quelques secondes et c'est tout de que je puis vous dire au sujet de ces mitraillages. Les personnes tuées ont été dirigées sur la mairie de Châtelaudren et les blessés graves, sur la clinique de Guingamp." Nous nous sommes rendus à la mairie de Châtelaudren, où, en la présence du maire de Châtelaudren et de Plélo nous avons relevé comme suit les identités des 6 victimes. 1° - Hachemi Zerouici, né le 8 février 1895 à Oran (Algérie) domicilié Cité Guichen à Morlaix (Finistère), profession, chauffeur. 2° - De St-Pierre Fernand, né le 1er avril 1891, à Ploufragan (Côtes du Nord), domicilié à Saint-Brieuc, 20 rue de Brest. 3° - Mme Le Bihan, née Rault Azeline Anne Marie, née le 19 décembre 1880 à Lamballe, rue Bazais, n° de la carte d'identité 1435. 4° - Mme Rouxel, née le 21 juin 1869 à Taden, (Côtes du Nord), domiciliée à Quévert. 5° - Viandier Marcel, Auguste, chauffeur d'autos, né le 12 juillet 1905 à Rennes (Ille & Vilaine), domicilié 8 rue Louis Blériot à Rennes. 6° - Mme Renault fille de Mme Rouxel et de Mme Rouxel Marie Claude, domiciliée à St-Servan (Ille & Vilaine). Les corps de Mme Rouxel et de Mme Renault ont été transportés à Guingamp par les soins de M. Niel Jean, 22 rue de Pontrieux à Guingamp en vue de son inhumation dans cette ville. M. Le Cam, transporteur des pompes funèbres à Guingamp a également transporté les corps de Viandier à Guingamp pour le journal lOuest-Éclair de Rennes, en vue de son inhumation à Rennes. Les corps de MM. Achemi et de St-Pierre seront inhumés à Châtelaudren, le 9 juin 1944. En foi de quoi, nous avons dressé le présent procès-verbal en quatre expéditions, destinées, la première après visa de M. le receveur de l'enregistrement, à M. le Procureur de la République à Saint-Brieuc, la seconde à M. Le Préfet des Côtes du Nord à Saint-Brieuc, la troisième, à l'aussenkommando à Saint-Brieuc, la 4ème aux archives. Fait à clos à Châtelaudren, les jours, mois, et an que d'autre part.
A notre arrivée sur les lieux au "Rossignol" en Plélo, nous constatons que la route nationale N° 12 est labourée par des balles et de petits obus de 22 mm sur une longueur de 100 m environ. Sur l'accotement gauche de cette route en direction de Saint-Brieuc se trouve une camionnette automobile de marque Renault, immatriculée sur le N° 2506- GV 4. Les pneus sont crevés, la chaudière est transpercée de nombreux trous ainsi que la bâche de couleur verte qui couvrait la carrosserie. Du sang coule encore sur la carrosserie de ce véhicule. A l'intérieur, parmi des paquets de journaux, se trouvent pêle-mêle des paquets et objets appartenant aux victimes du mitraillage. Tous ces objets ont été enlevés par nos soins et déposés à la mairie de Châtelaudren pour être remis aux parents des victimes de cet accident. Les corps des tués et des blessés ayant été enlevés par les premiers sauveteurs arrivés sur les lieux avant nous, nous n'avons pu interroger aucun blessé. La camionnette accidentée, couverte d'une bâche verte appartient au journal "LOuest-Éclair" de Rennes et porte sur l'arrière l'inscription suivante: "Agente Régionale lOuest-Éclair, 32, rue du Pré Botté - Rennes". Ce véhicule étant un obstacle pour la circulation, a été garé dans un chemin de servitude non loin des lieux de l'accident.
Vers 11 heures 30, le train de voyageurs n° 1580, se dirigeant vers Saint Brieuc, a été mitraillé par des des avions inconnus, à la hauteur du bourg de Plouagat. Le mécanicien et le chauffeur ont été légèrement blessés ; l'un à la main gauche, et l'autre au front. Ces personnes demeurant à Saint-Brieuc ont rejoint leur domicile. Ce même jour, à la même heure, ces mêmes avions ont mitraillés 3 locomotives accouplées et un wagon de D.C.A. allemands stationnés en gare de Châtelaudren. Un employé de chemin de fer allemand a été tué (KLEIN Christian, né le 14 juillet 1887 à Oberkassel. Plaque d'identité n° 19115-Haupt-Verkehrs-Direktion Paris. Dernier grade connu : Lokomotivführer. Tué au combat le 7/6/1944), et deux français (mécanicien et chauffeur) ont été blessés. Ces derniers ont été transportés à Saint-Brieuc, lieu d'où ils sont originaires. Le même jour, vers 12 heures, la voiture automobile assurant le transport du journal Ouest-Éclair de Rennes. Voir le rapport précédent.
Le même jour, vers 12 heures, un des avions ayant mitraillé les locomotives à la gare de Châtelaudren, atteint par les tirs de la D.C.A. allemande stationné en gare de Châtelaudren, est tombé près du lieu dit "Les Fontaines" en Plélo. Les militaires allemands assurant la garde de cet appareil ont interdit aux militaires de la brigade de s'en approcher. |
Membres du personnel de la RAFF rattachés aux Squadrons de la Royale Air Force et aux unités de soutien de la Deuxième Guerre Mondiale et qui sont portés disparus sans lieux de sépulture connus. Source : NAA : 0705, 166/44/141 Type dappareil : Spitfire Numéro de série : MB883 Signe ( ?) dappel radio Unité : 131 Squadron RAF Résumé : Le Spitfire MB883 appartenant au 131 Squadron de la RAF (Comté de Kent) en provenance de Culmbead (RAF) près de Taunton, dans le Somerset a été vu pour la dernière fois lors dune mission à lest de Morlaix, en France. Dans ses déclarations le Flt Lt Bearman (RAF) a déclaré : « Le matin du 7 juin 1944 je volais comme N°3 dans une formation de 4 avions avec le Warrant Officer Woodey qui était N°4. La formation se dirigeait dest en ouest entre St Brieuc et Morlaix, en France dans le but de tirer sur des locomotives et sur dautres cibles militaires. Woodey volait très près sur ma gauche et je pouvais lapercevoir sauf si une attaque avait lieu et qualors le groupe se repliait en formation non serrée ; Woodey était le dernier à passer à lattaque. Lorsquun train a été attaqué, jai remarqué une balle traçante ( ?) qui provenait du sol et qui est passée sous mes ailes. Le Flight Commander a appelé par radio transmission pour vérifier que Woodey et moi-même allions bien mais il ny a pas eu de réponse de la part de Woodey. Cest la dernière fois que je lai vu. Pendant lattaque dun train qui a eu lieu plus tard, jai remarqué que quelquun qui se trouvait derrière moi avait été touché par un tir (de représailles ?) mais je suis incapable de dire sil sagissait ou non de Woodey. Signé C.E Bearman, F/Lt otre dévoué F 3823 (signé) Flight Lieutenant, Adjt, ( ?) Leader, commandant du 131 Squadron (Comté de Kent).
131 Squadron (Comté de Kent) R.A.F station Culmbead Mr Taunton, Somerset, Angleterre 8 juin 1944 Mon cher Mr Woodey,
Cest avec un profond regret que je vous écris pour vous informer que votre fils nest pas rentré dune opération offensive hier. Vous avez sûrement dû être informé par voie officielle mais je vous écris pour vous exprimer toute notre sympathie au nom de tous nos officiers et des hommes de cette unité après ce qui a dû être une terrible nouvelle pour vous. Cependant jai grand espoir en ce qui concerne sa sécurité car après une attaque sur une cible terrestre on la entendu dire à la radio que son avion avait été touché. Certains pilotes disent lavoir vu voler après cela mais personne ne la vu avec certitude quitter la formation et on a remarqué son absence quau moment où nous avons franchi la ligne ennemie. Tout ceci me pousse à croire quil a dû penser que son avion ne pourrait pas continuer et que dès lors il a atterri derrière les lignes ennemies. Il va de soi que mes espoirs vont en ce sens et que bientôt on aura lassurance quil est sain et sauf. La nouvelle de sa disparition doit être un choc pour vous et sa perte est en effet un choc car il était un excellent élément pour un squadron et un atout comme pilote de chasse. Je crains que nous ne disposions pas dautres informations pour linstant mais si tel était le cas je vous écrirais aussitôt. Si je peux faire quoi que ce soit pour vous, nhésitez pas à écrire car je me ferai un plaisir de vous aider.
Mr.A. Woodey 49 Park Road Bowral, Nouvelle-Galle-du-Sud, Australie Transmis plus tard à (?) le 29 juillet 44 M.M 29-6-44 Enc- 7A- M .V . 9981 Section des pertes 391 Lit rue Collins 05 juin 44 RAAF.166/44/141/7A
Cher monsieur, En rapport avec les affaires de votre fils, le warrant officer Jack Edward Woodey, qui est porté disparu suite aux opérations aériennes du 7 juin 44, je dois vous informer quune voiture lui appartenant est restée dans son ancienne unité. Etant donné les difficultés quil y a à stocker des objets de ce genre et du fait quil nest pas pratique de les renvoyer en Australie, il est dusage de les garder pendant environ 3 mois à partir de la date de la disparition dun membre. Sil savère quil est toujours porté disparu, ce genre dobjet est vendu et le montant est porté à son actif. Toutefois, vous avez la possibilité, si vous le souhaitez de nommer une personne de votre choix au Royaume-Uni qui prenne livraison de la voiture plutôt quelle soit vendue. Si tel est votre souhait, il est impératif de communiquer à nos services le nom et ladresse de la personne choisie avant le 20 juillet 1944. Après cette date, la vente aura lieu, comme il est stipulé ci-dessus. Amicalement, M.C Langslow, secrétaire Mr A.Woodey 49 Park Road Bowral, Nouvelle-Galle-du-Sud Equipage : RAAF 4 11625 Warrant Officer Woodey, J.E (Pilote). En 1949 il a été attesté que le Warrant Officer Woodey navait pas de sépulture connue.
Dans le dossier du Warrant Officer Woodey il est noté un sérial différent que celui enregistré dans l'ORB du AIR 27_942_12-131 Sqdn. Spitfire MD165, ce même Spit nous le retrouvons à la date du 18 juin. Cet avion sera détruit dans un crash le 14 janvier 1945. Mission Rubarb 272, décollage du terrain de la RAF Culmhead près de Taunton, dans le Somerset. Formation en vol de 8 Spitfire sur Lamballe puis divisé en deux vols de quatre avions : attaque et marquage des coups sur les trains à l'est et à l'ouest de Lamballe. Zone entre Lamballe, Landerneau et Morlaix. Spitfire MD171, F/L Rudland G.P. Spitfire MD187, F/S Rigg A.D. Spitfire MD144, F/O Luckhuff L. Spitfire MD134, F/S Williams J. A. Décollage à 10h30, retour à 10h55. Mission Rubarb 273 : même destination que la précédente, décollage à 10h35, retour à 12h40. Zone de Lamballe à Rennes. Spitfire MD186, F/L Moody V.K. Spitfire MD884, W/O Clatworthy P.F. Spitfire MD120, F/L Bearman C.E, Spitfire MB883, W/O Woodey J.E.
Le Spitfire Mk. VII - Le même modèle du même squadron que le Spitfire Mk. VII MB887, du Warrant Officer. ATKINSON, WILLIAM JAMES.
Le Spitfire Mk. VII est un avion intercepteur
à haute altitude; ayant un moteur Merlin 61
(1 300 ch à 7.010 mt), 64 (1.450 ch à
6.4008 mt) et 71 (1700 ch à 5.486 mt), avec
un compresseur à deux étages, Le
Merlin 61 a été le premier moteur
à deux vitesses et à deux
étages suralimenté utilisé
dans le Spitfire - le compresseur de
suralimentation à deux étages avait
de meilleures performances à haute altitude.
Les nouveaux moteurs avaient besoin d'un nouveau
système de refroidissement, le
résultat fut que le Mk VII avait une prise
d'air sur chaque aile, lui donnant un aspect plus
symétrique que les précédentes
versions de Spitfire.
La longueur du fuselage a été
porté à 9, 44 mt pour accueillir le
plus gros moteur. Le fuselage a également
dû être renforcé. Il avait une
cabine pressurisée. Le Mk VII avait un
système de pressurisation plus avancé
que le Mk VI, en utilisant une verrière
coulissante, ce qui était plus populaire que
le cockpit verrouillée sur le Mk VI. Il
avait une roulette de queue rétractable.
La version pour la haute altitude du Mk VII a
été alimenté avec un Merlin
71, et pourrait atteindre 669.49 km/h à
13.411 mt.
Le Mk VII a utilisé les ailes "c" de
type universel, l'avion transportant de l'armement,
soit deux canons de 20 mm Hispano (120 coups par
arme à feu) et quatre mitrailleuses de
calibre, 7.7 mm Browning (350 coups par arme
à feu) , mais avec le bout des ailes
élargies utilisés sur le Mk VI.
Le Mk VII est rentré en production
à partir du mois d'août 1942
jusqu'à début de l'année 1944,
il a été fabriqué à
seulement 140 appareils. Le Mk VII eu un peu plus
de succès que la précédente
version, le Mk VI, mais le «provisoire»
Mk IX s'est avéré être capable
de fonctionner à haute altitude, et le Mk
VII a vite perdu son statut spécial en tant
que combattant de haute altitude, bien qu'il soit
resté en cours d'utilisation pendant toute
la guerre.
Le Warrant Officer. WOODEY, JACK EDWARD, est né le 5 mars 1920 à Bowral. Bowral est une ville australienne située dans le comté de Wingecarribee, à l'Est de la Nouvelle-Galles du Sud. |
Source documentation : Roland Bohn
PV de la gendarmerie - archives de Saint Brieuc - Jimmy Tual - Michel PIETO
ORB : AIR 27_942_12-131 Sqdn
Dossier WOODEY JACK EDWARD : National Archives Australie