Le Mont Dol "Le Vivrais" "Man O War" Codé GL-R 94th BG / 410th BS
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Photo du B-17F-20-DL - 42-3063 - Via Mitch Hamic - Février 2017
NARRATIVE - MAY 29, 1943, Special
Focus : Attack on Rennes; 410th BS/94th BG Aircraft No.
42-29692
By Mitchell E.Hamic
Traduction Dahiot Daniel
Cette narration fournit l'information historique et
pertinente d'une mission de la 8th Air Force, la No. 61 avec
en particulier le rôle et les événements
entourant et la participation d'un léquipage et de
leur avion.
L'exactitude de ce rapport est, fondée dans la
recherche matérielle disponible de l'auteur.
L'information conduisant aux corrections et mises à
jour sont bien accueilli.
La mission de la 8th Air Force la No. 61 était
lancée pour le samedi, 29 mai 1943. Il y avait des
objectifs qui incluaient des cibles multiples dans la France
occupée par les allemands avec un effort primaire
dirigée contre la base sous marine de St.
Nazaire.
Contre les U-Boat la 8th AF a déployée
147 Boeing B-17, les Forteresses Volantes de son
1er
Air Wing.
A l'avance de cette poussée principale, 72 B-17
du 4th Air Wing étaient aussi envoyés
bombarder les magasins navals d'approvisionnement
situées à Rennes. Le 94th Bomber Group servait
comme l'élément de tête pour ce raid,
qui était aussi destiné comme une diversion
pour l'attaque sur St. Nazaire. Les bombardiers du 95th et
96th BG se joignait dans cet effort.
Bien que l'attaque sur Rennes était la
septième mission dans laquelle les équipages
et bombardiers du 94th BG ont participés,
c'était leur première mission qui endoctrinait
pleinement une unité de combat. Antérieurement
en ce temps, les escadrilles du 94th BG avaient
été attachées aux groupes de
bombardement plus expérimenté.
La 4l0th escadrille du bomber groupe, par exemple
avait été associée avec celle du 367th
BS du 306th BG posté à Thurleigh, en
Angleterre. Après l'endoctrinement complet, les
éléments volants du 94th BG joignaient alors
leurs unités au terrain de Earls Colne le 25 mai
1943.
Pour la mission de Rennes le 94th a disposé de
22 bombardiers. Ceux-ci prenaient le départ de Earls
Colne à 13h15 et se rassemblait à 7000 pieds
au-dessus des cumulus, et des couches de nuage. A 13h40, le
groupe partait de la base pour se joindre avec le 95th &
96th. Mais avant une panne survient au 42-29698 du 33lth BS
quand son quatrième moteur lâche, un
défaut de d'arrivé d'essence.
D'un point approximativement à mi-chemin entre
Londres et Cambridge, les trois groupes ont
procédés à un changement au sud-ouest
à Portland Bill sur la côte Anglaise. Au cours
du voyage, le 42-29834 du 332nd BS a abandonné car il
ne pouvait plus rester avec la formation en haute
altitude.
Des 20 bombardiers restant du 94th, quatre
vont ce joindre avec les avions du 95th et/ou
96th qui vont former ainsi un groupe composite.
Les 16
autres B-17 vont former le 94th Bomber Group.
Chacun des groupes des B-17 était armé
avec dix bombes de 500 livres. "Man O War" était
aussi équipée avec 6500 munitions de calibre
50, pour ses mitrailleuses (un total qui peut avoir
été légèrement en dessous de la
moyenne avec la comparaison avec un autre du 94th BG ce jour
là).
En cours de route, le 94th était composé
d'un box standard de combat. Cette formation a
été conçue pour améliorer des
champs du feu contre les avions ennemis tout en ramenant des
risques à frapper les bombardiers amicaux. Le combat
box a typiquement comporté les éléments
élevés, et moyens, et bas de six sept à
l'avion chacun. Si observé de la tête dessus,
ces éléments seraient apparus comme s'en
positions relativement à une des autres
d'étape d'échelon.
Après la libération des bombes, les
Forteresses tournent à tribord (par 180
degrés) par le nord sur le voyage de retour. La flak
sur la cible avait été modérée,
mais une bataille de course avec des combattants d'ennemis
devenaient rapidement le souci primaire.
En ce qui concerne les combattants avec des
monomoteurs, l'avant occidental au printemps de 1943 a
été principalement défendu par deux
Jagdgeschwader de la Luftwaffe, le JG 2 et le JG 26. Le JG
26, qui avait été par le passé
commandé par Adolf Galland, n'a pas été
invité pour défendre les cieux au-dessus de la
France ce jour là. Au lieu de cela, l'interception
est tombée entièrement sur les épaules
du Groupe du JG2, le "
Richthoffen ".
Le JG 2 était capable de déployer
beaucoup d'As ou "experten" Parmi ces derniers était
le Hptm. Egon Mayer qui avait été un premier
partisan des attaques frontales contre les bombardiers
américains. La tactique qu'il a aidé à
lancer était de se retirer le plus tard possible lors
de l'attaque frontale qui mènerait à
l'infâme exigent de " twelve o' clock high " A cette
date, Mayer était dans le ciel ((probablement parmi
les escadrilles expédié par le Jafü 3) et
il a réclamé deux B-17, qu'il a probablement
endommagé.
Le Jafü 3 envoyait aussi deux autres Staffelnn
(escadrilles) (Nos. 8 & 9) du JG 2 depuis Vannes,
celles-ci rejoignaient les trois autres
staffelnn(1) qui
était déjà en l'air et engageaient les
bombardiers depuis Rennes jusqu'en dehors de la Manche.
Commentaires
: (1),c'est à
dire la Stab III./JG 2 -7./JG 2 - 10./JG 2.
Mitch à oublié :
depuis Triqueville avec son Gruppenkommandeure le Hptm.
Helmut -Felix Bolz, de la Stab I./JG 2 - 1./JG2 - (2./JG2?,
3./JG2?)
Sans oubliez sur la mission de
St Nazaire : Avec son Geschwaderkommodoren l'Obstlt Walter
Oesau, de la Stab/JG 2 - 11./JG 2 - 12./JG 2.
Les combattants des Staffelnn 8 & 9 étaient
vraisemblables proéminents en engageant les squadrons
bas des éléments du 94th.
Si oui, le 410th s'est trouvé verrouillé
vers le haut avec un mélange de Focke-Wulf (Fw190A)
et de Messerschmitt (Bf 109G-6) pilotés par des as
établis. Un Focke-Wulf a était piloté
par le Ltn. Josef "Sepp" Wurmheller qui sera
crédité de 102 victoires confirmées
avant sa mort en juin 1944.
Le Hptm. Bruno Stolle, à qui avait
été attribué à la croix de
chevalier deux mois plus tôt suivant, pour sa
29ème mise à mort, a pu avoir
piloté un Messerschmitt (bien qu'une grande partie du
vol dans sa carrière de temps de guerre était
dans l'habitacle d'un FW-190).
La JG 2 a continué à poursuivre ses
attaques pendant que les bombardiers approchaient de la
côte. Le Bombardier du capitaine Hebert
"en position de leader " pour le squadron bas a soutenu les
dommages de l'attaque , qui ont eu pour conséquence
un ralentissement des six-bombardiers de la formation.
Exposé aux attaques prolongées de l'ennemi et
avec le feu antiaérien devenant de plus en plus
intense (particulièrement près de la
côte de Saint Malo), les B-17 du 4l0th ont
commencés à tomber.
L'avion du Lieutenant. Hecox (42-29476)
était le premier, il s'est brisé sur la
commune des Les-Champs-Géraux (sud-est de Dinan).
"Man O ' War" était aussi sous l'attaque comme
il fut observé par le Sgt. Allen Danaher de son poste
d'opérateur radio qui était à bord du
bombardier le n° 42-3063.
Je me rappelle qu'allant sur une mission A.Chott
volait dans un B-17 sur notre aile ; Le feu
antiaérien de la flak était lourd ce jour
là, de toute façon je savais que cela
était lui, car lui et moi avons discuté qui
volerait dans la tourelle de boule ce jour . Les combattants
ennemis attaquaient aussi, et le feu antiaérien
prenaient leur compte, j'étais radio le jour et il
s'est avéré justement de regarder dehors par
ma fenêtre et de voir sous le feu des combattants
ennemis mon ailier et alors la porte de la tourelle de boule
A. Chott s'ouvrir et il est tombé dehors sans aucun
parachute car celui-ci n'était dans sa pièce
de la ball-turret.
Mais le Sgt. Allen Danaher ne se rappellent pas le
jour de la mission. Juste qu'A. Chott, est tombé
dehors il semble que le bombardier a été
touché une deuxième fois avec le feu
antiaérien, la flak.
Le S/Sgt. Charles Gregory occupait la position de
mitrailleur de queue à bord du "Man O War". Il
rapporte de même que l'avion à fini par se
renverser frappé par un feu antiaérien qui lui
a enlevé cinq à six pieds (env 1800 mt) au"
Man O War ". Il avait rejoint cinq autres avions dans le
squadron de l'élément bas. Une relation
probable car les six avions sont donnés dans
la
description suivante :
De Portland Bill le 4ème Air Wing
à commencé à se diriger plus vers le
sud et a volé au sud-ouest du point des îles de
la Manche. Les bombardiers alors ont tournés à
gauche et procédés pour dépasser la
côte française à l'est de Saint Brieuc.
Le feu antiaérien était léger à
modéré le long du littoral.
Trois squadrons de P-47, chacun des 4th et 56th FG ont
fournis la couverture aérienne de la côte
bretonne jusqu' au point initial (IP) pour la mission de
bombardements.
L'IP était juste à l'ouest de Montaubaun
(de Bretagne à 25/30 kms
au nord-ouest de Rennes) et il a
été atteint approximativement à 15h45
(étrange ! si
près de Rennes, 15h45 et les premières bombes
tombent à 16h01, fin 16h05) sur quoi
les P-47 de l'escorte ont été forcés
pour partir en raison des limitations en carburant.
Le Jafue 3 et (4) [commandements 3 et 4 de la
chasse de la Luftwaffe], responsable de défendre
respectivement la Normandie et la Bretagne, avait
dépisté les bombardiers entrants. Les
contrôleurs de la Jafue 3 ont expédiés
les staffelnn, six (escadrilles)
(voir plus haut)
des bases de la Normandie dans l'ouest pour les
arrêter. Trois des six, cependant, ont
débarqué avant de faire le contact. Les trois
staffelnn restant ont établis le contact à
15h55 pendant que la 4ème Air Wing
approchait pour le largage de leurs bombes.
Les bombes sont tombées approximativement
à 16h05
(16h01/16h05)
avec des résultats qui étaient
évalués des plus pauvres. Un hangar dans le
dépôt des magasins naval a été
détruit, (non rien de
touché, seulement le quartier nord de Rennes,
jusqu'à la gare). Des points de
dommages ont été notés dans l'arsenal,
et la Caserne du Colombier (un complexe de casernes) a
été détruit. Les rapports officiels ont
attribué les résultats très pauvres
dues aux difficultés que le navigateur du groupe
leader pour localiser le point IP.
Le 2ème Lieutenant Oliver Carroll,
qui était bombardier à bord du 42-29710,
se souvient que lors du briefing, il fut également
question d'un camp de prisonniers français
situé près de la
cible, (vrai ; camp de
prisonnier de Nord-Africain, qui était situé,
route de Lorient situé juste à coté des
Magasins Navals de le Kriegmarine. Camp qui fut totalement
épargné lors des bombardements du
26
février 43). Il fut donc
spéculé que la zone du camp fut
évité par les bombardiers cela a pu
également contribué aux résultats
très pauvres.
Des dommages avaient été
également soutenus du côté du fuselage
et des saumons d'ailes. De l'attaque et les dommages
causés dans l'avion le Sgt. Gregory avait perdu
connaissance, son tube d'oxygène avait
été cassé et l'interphone près
de sa tête avait été détruit,
revenu à lui, il entends la sonnerie du bombardier
qui sonnait l'abandon, ainsi il est venu vers
l'avant.
Il a bientôt rencontré un autre membre de
l'équipage, qui essayait de donner un coup de pied
dans la porte, mais celle ci ne s'ouvrait pas. En ayant
approché de cette porte du côté de
verrou, le Sgt. Gregory a eu un meilleur angle pour attaquer
la trappe. Il a donné un coup de pied à la
mode d'une mule et la trappe a volé. Le Sgt. Gregory,
le Sgt Johnson et le lt O'Brien étaient dans la plus
mauvaise de leur forme et il a essayé d'aller plus
loin à l'avant de l'avion, mais il ne pouvait pas.
O'Brien lui a crié, " entend tu la cloche qui sonne -
échappe toi d'ici ! " ; Le Sgt. Gregory a
sauté, il avait perdu connaissance, mais il a
retrouvé ses esprits pendant qu'il tombait dans
l'eau.
"Man O War" fut donc touché rapidement, et
après avoir virer à tribord pour longer la
côte française, comme il a raconté le
Sgt. Gregory il a pu sauter dans la Baie du Mont Saint
Michel près du Vivier sur Mer.
Après avoir viré vers le sud,
bientôt le bombardier allait se briser au sol au Mont
Dol. Près de la ferme de famille, de Mr. Petit (un
jeune adolescent alors) il a observé l'accident. Il
rapporte que le B-17 avait de la fumée et des flammes
au niveau de la soute à bombes. Deux avions allemands
ont plus tard mitraillé le bombardier et la partie
avant sectionné dans le crash à
brûlé.
Les villageois étaient aussi rapidement que
possible près de l'épave. Un docteur qui
passait par là a essayé d'aider un des membres
de l'équipage qui avait été
éjecté, mais ce jeune homme est mort dans les
bras du docteur. Un deuxième homme a pu avoir son
parachute accroché dans une porte.
Les autres membres de l'équipage restants ont
péris dans la section avant de l'avion.
Le Sgt. Gregory a été
récupéré en mer dans la Manche par des
pêcheurs français. Un bateau allemand est venu
le prendre cependant, et il est devenu un prisonnier de
guerre.
"Man O War" a donc apporté sa contribution dans
les pertes du 410th .
Le "Hell Below" (avion n°. 42-29710)
avait pris des dommages sur des attaques
répétées. Un mitrailleur, le Sgt.
Ferentinos, avait été touché dans une
jambe par un obus de 20mm.
Une partie du stabilisateur vertical avait
été démolie. Les moteurs #3 et #4
avaient finis par lâcher et une partie de l'aile
était en feu.
Cela impliquait que le bombardier ne pourrait pas la
faire la traversé de la Manche, le pilote Jack
Workman venant du sud, allait vers la côte
française.
Certains membres de l'équipage avait
sauté déjà dehors à près
de 17.000 mt environ. Mais les vents soutenus les ont
poussés le Canal, la Manche. Parmi ces membres
d'équipage il y avait le Sgt. Winston Lowe, la
coïncidence voulait que celui ci c'était
exercé en tant que membre avec l'équipage de
Merle Brown dans le centre de Pueblo, Colorado, mais alors
il avait été envoyé en Angleterre en
tant qu'élément dans le même
l'équipage avec les Sgts. Chott A, Danaher, et Hamic.
Le Sgt. Lowe et le Sgt. Gregory C, sont bientôt
retrouvés prisonniers au Stalag 17B.
Les B-17 du 94th ont été escortés
par Spitfires à mi-chemin du Canal. Ces combattants
étaient réellement tardifs sur les groupes,
bien que si leur arrivée avait été plus
opportune il pouvait avoir évité les
premières pertes cela est certainement
concevable.
Le Sgt. Danaher, a cependant attribué à
la RAF de lui avoir donné et à son bombardier
une chance de survie.
Les combattants allemands ont aussi fortement
endommagé des B-17, ils ont retraversés la
Manche sans accident et débarqués en
Angleterre .
Il y avait aussi un mitrailleur de la tourelle de
boule qui était mort et un mitrailleur de tourelle
supérieur était absent (après avoir
sauté en parachute malgré que l'ordre avait
été annulée).
Des 16 B-17 du 94th BG, qui sont revenus à
Earls Colne, 14 sont revenus avec des dommages de guerre
à des degrés variables de
sévérité.
Les dommages et les pertes du groupe n'ont pas
été aussi sérieux, mais cependant avec
des efforts sérieux d'avoir effectuer la même
chose à la Luftwaffe. Les armuriers ont
comptabilisés et indiqué que les 16
bombardiers après leur retour avaient
dépensé un total de 42.758 balles de calibre
.50!
Bien que le feu antiaérien ait pu avoir
finalement mis hors de combat "Man O War" et "Hell Below"
les pilotes de la Luftwaffe ont peut être put
être crédités de trois des B-17 perdus
par le 410 th BS. Les combattants ennemis ont
détruits un B-17, le (42-3042)
du 96th BG et ont été probablement
crédités de celui-ci le 42-29689
" Shack Buster " du 95th.
Il est quelque fois difficile d'interpréter les
rapports de victoires. Mais les revendications semblent
avoir été attribués aux pilotes
suivants :
Le Ltn. Fritz Rösle (Staffel n° 7) -
Commentaires : La synchronisation suggère que cette
réclamation ait été faite pour un des
bombardiers du 95th ou du 96th.
Le crédit a pu avoir été
partagé avec celle du Ltn. Horst Zettel (Staffel
n°1).
Ltn. Walter Ebert (Staffel n°8) - commentaires :
La Synchronisation correspond avec celle de la perte du
410th BS.
Hptm. Bruno Stolle (Staffel n°8) - commentaires :
La synchronisation et correspond avec celle de la perte du
410th BS. Le crédit a pu avoir été
partagé avec Uffz Mosch (Staffel n°8).
D'autres pilotes ont infligé des dommages sur
le 4ème Air Wing. Ltn. Wurmheller (Staffel
n°9) a attaqué un B-17 à
approximativement 20.000 pieds pendant qu'il croisait la
côte du coté de la Baie du Mont Saint Michel.
Il a alors chassé vers le nord et a endommagé
un bombardier à 14.000 pieds près des l'Iles
Chausey.
L'Uffz. Heinz Schneider (Staffel n°9)
était aussi dans le voisinage et a endommagé
un B-17 à 20.000 pieds près de la côte.
L'Uffz. Swat Erich et le Fw. Karl-Heinz Munsche (tous
les deux de la Staffel n°9) ont poursuivis au-dessus de
la Manche des B-17 par de multiples attaques.
Hptm. Egon Mayer (Stab III) rapporte avoir
attaqué un B-17 à une faible altitude (1500
pieds).
Le 4th Air Wing avaient perdu un total de six
bombardiers avec 64 membres d'équipage manquants ou
tués.
Cependant l'attaque de la Luftwaffe avait
été détourné avec succès
avec le 1er Air Wing il rencontrait seulement une
opposition légère de la part des combattants
ennemis dans leur attaque sur Nazaire, qui ont
simultanément attaqués avec le 2nd Air Wing et
leurs 34 B-24 sur les installations des U-Bot à La
Pallice, avec seulement une opposition bien maigre.
Les résultats des Bombardements contre les deux
cibles ont été évalués
loyalement et bon respectivement. Ce jour, là 8th AF
a perdu un total de 14 B-17 (six dus au feu
antiaérien au-dessus de St Nazaire) tandis que la JG2
se donnaient les pertes de huit combattants (plus
vraisemblablement attribuable aux mitrailleurs des
quadrimoteurs).
À l'emplacement de la chute de "Man O War", les
villageois ont rapportés que le jour suivant ils ont
pu voir un aviateur avec des soldats allemands. Ils avaient
un américain avec eux pour identifier les corps, bien
qu'il soit clair cela semble avoir été le Sgt.
Gregory, ou un autre membre d'équipage d'un des
autres bombardiers tombés. Les corps ont
été enlevés avec respects et avec
l'aide des villageois. Un prêtre a béni les
restes des corps des membres de l'équipage.
Le 1er juin 1943, les corps ont
été enterrés dans un cimetière
situé à Dinard. Après libération
de la France, l'équipage entier a été
envoyé au cimetière américain de St
James en octobre 1944. Ils reposent là pour
l'éternité, excepté les Sgts. Hamic et
Ukropen qui ont été rapatriés dans leur
ville après la guerre.
Poste du mitrailleur de
queue Les restes du B-17, 42-29692 "Man O
War" Pilot:
Lt. Merle Brown
Tracy, Minnesota
Co-Pilot:
Lt. Otho B. Wood
Techama, California
Navigator
Lt. Quentin Sandahl
Burbank, California
Bombardier
Lt. William O'Brien
Northampton,
Massachusetts
Radio / Gunner
S/Sgt. Ralph Johnson
Turlock, California
Top Turret
T/Sgt. Willis Dow
Reedsport, Oregon
Ball Turret
T/Sgt. Ambrose Chott
St. Louis, Missouri
Waist Gunner
T/Sgt. Edmond Hamic
Bessemer, Alabama
Waist Gunner
S/Sgt. Steve Ukropen
Chicago, Illinois
Tail Gunner
S/Sgt. Charles
Gregory
Kingston,
Pennsylvania